Dacă doriţi un răspuns cu privire la Marea Trecere, la situaţia actuală a umanităţii, vă oferim aici o serie de articole revelatoare.
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vineri, 22 martie 2013

► Simbolul poartă către noua omenire

Realitatea este mult mai complexă decât ar părea. Prin urmare, modul nostru de a ne raporta la ea, modul obişnuit, specific omenirii actuale, în marea ei majoritate, este foarte limitat, insuficient. Gândim şi ne manifestăm liniar, plat.
Lumea are însă şi adâncime, profunzime. E ca şi cum ai fi undeva, în spatele unei ferestre care dă spre un peisaj mirific, iar tu te mulţumeşti să priveşti doar geamul, fără să ştii că acel peisaj există, că poţi privi PRIN sticlă.
Atunci când orizontul cunoaşterii cuiva se restrânge atât de mult până devine un punct, acel om spune (cu mândrie): "Iată punctul meu de vedere!"


Am ajuns însă acum într-un punct unde este necesar să trecem la o perspectivă mai amplă, superioară. Să ridicăm privirea din pământ şi chiar mai sus de reclamele magazinelor.

Ce ne poate da această profunzime? Cum să învăţăm să privim altfel lumea, cu alţi ochi (cu al treilea ochi)?...

... să trecem de la liniaritate la simbol
                   de la minte la conştiinţă
                   de la punct de vedere la sferă de conştientizare

liniaritate - să te laşi dus de val
conştiinţă, conştientizare - să te opreşti şi să observi


simbolul e o rezonanţă

e ceva care trezeşte (un cimbal)

simbolul e sămânţa unei lumi întregi - care se deschide ca o floare în conştiinţa ta

simbolul presupune creaţie, noutate, mister, mereu altceva - VIAŢĂ !

(litera e moartă, spiritul dă viaţă)

simbolul trezeşte la viaţă


simbol - artă


faţă spate

oglindă

simbolul e o oglindă

cum e lumea de dincolo de oglindă? - e o pădure fermecată, magică, fermecătoare, care te farmecă (opusul a-măgirii)

simbolul dez-a-măgeşte (neagă negaţia) blochează mintea şi te basculează dincolo de oglinda lui - te întoarce pe dos
spre Tine, spre Fiinţa Ta Adevărată


viaţa e un poem
un izvor 
în care orice picătură 
- lacrimă, de încântare -
e o oglindă
- simbol, sămânţă -
a Totului în perpetuă înviere



mintea e doar un hoţ
o platitudine

mintea minte


oglinzi paralele



Simbolul sună şi trezeşte



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Qu'est ce qu'un symbole ?

Le mot « symbole » est issu du grec ancien sumbolon (σύμβολον), qui dérive du verbe sumbalein (symballein) (de syn-, avec, et -ballein, jeter) signifiant « mettre ensemble », « joindre », « comparer », « échanger », « se rencontrer », « expliquer ».

En Grèce, un symbole était au sens propre et originel un tesson de poterie cassé en deux morceaux et partagé entre deux contractants. Pour liquider le contrat, il fallait faire la preuve de sa qualité de contractant (ou d'ayant droit) en rapprochant les deux morceaux qui devaient s'emboîter parfaitement. Le sumbolon était constitué des deux morceaux d'un objet brisé, de sorte que leur réunion, par un assemblage parfait, constituait une preuve de leur origine commune et donc un signe de reconnaissance très sûr. Le symbole est aussi un mot de passe.


L'antonyme littéral du « symbolique » est le « diabolique », ce qui divise (du Grec diaballein, de dia- à travers, et -ballein jeter, jeter à travers, c'est-à-dire diviser, disperser, par extension rendre confus). Le diabolique est, au sens propre, pour les Grecs, le bâton qui semble rompu lorsqu'il est plongé dans l'eau; au sens figuré, c'est l'apparence trompeuse. Ce qui est trompeur, fait croire à la cassure et relève de l'illusion des sens, est de l'ordre du diabolique ; ce qui rapproche, reconstitue l'unité ou la totalité originelle en dévoilant du sens est de l'ordre du symbolique.

Ce que nous appelons symbole est un terme, un nom ou une image qui, même lorsqu'ils nous sont familiers dans la vie quotidienne, possèdent néanmoins des implications, qui s'ajoutent à leur signification conventionnelle et évidente.

Lorsque l'esprit entreprend l'exploration d'un symbole, il est amené à des idées qui se situent au delà de ce que notre raison peut saisir.


Différence entre un signe et un symbole

Le signe est toujours moins que le concept qu'il représente, alors que le symbole renvoie toujours à un contenu plus vaste, que son sens immédiat et évident.

Là où le signe est conventionnel et, dans la mesure du possible, totalement univoque, le symbole suggère, évoque, sans la circonscrire, une réalité plus profonde, multiple, avec une base naturelle.

Paul Tillich argued that while signs are invented and forgotten, symbols are born and die. There are therefore dead and living symbols. A living symbol can reveal hidden levels of meaning, and transcendent or religious realities to an individual. For Tillich, a symbol always "points beyond itself" to something that is unquantifiable and mysterious. This is the symbol's "depth dimension". Symbols are complex and their meanings can evolve as the individual or culture evolves. When a symbol loses its meaning and power for an individual or culture, it becomes a dead symbol. The Greek Gods might be an example of dead symbols that were once living for the ancient Greeks but whose meaning and power is now gone. (Dar, spunea Goethe, moartă nu e lumea zeilor ci sufletele celor care...)

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The unique nature of the symbol is that it gives access to deeper layers of reality which are otherwise inaccessible.

Kenneth Burke described Homo sapiens as a "symbol-using, symbol making, and symbol misusing animal" (prin urmare, omul actual nu prea e Homo sapiens - e mai mult manipulat prin simboluri)


Jean Chevalier donne les caractéristiques suivantes, communes à tous les symboles:

    Obscurité : le symbole dépasse l'entendement intellectuel et l'intérêt esthétique. Il est « un terme apparemment saisissable dont l'insaisissable est l'autre terme » (Pierre Emmanuel).
    Stimulation : le symbole suscite une certaine vie. Il fait vibrer.
    Verticalité : le symbole établit des rapports extra-rationnels, imaginatifs, entre faits, objets, signes.
    Hauteur : le symbole relève de l'infini, il révèle l'homme.
    Pluridimensionnalité : chaque symbole condense plusieurs faces, formes, sens, interprétations. Un personnage de Amadou Hampaté Bâ s'écrie : « Ô mon frère, apprends que chaque symbole a un, deux, plusieurs sens ». À la différence du code, univoque, le symbole est polysémique, intelligible selon le système de représentations dans lequel il s'inscrit.
    Constance. Le rapport entre le symbolisant et le symbolisé demeure. Par exemple une coupe renversée symbolise toujours le ciel, quelque forme qu'elle prenne, coupole, tente.
    Relativité. Malgré cette constance, les symboles varient, ils modifient leurs relations avec les autres termes, ils revêtent une grande diversité iconographique ou littéraire, ils sont perçus différemment selon qu'on est éveillé ou endormi, créateur ou interprète.


!!! Selon la psychologie des profondeurs (Carl-Gustav Jung), un symbole contient une grande énergie que l'homme peut transformer, en l'amplifiant, en la sublimant, en la réorientant...


Une autre fonction est la « fonction magique » : le symbole, de façon formelle ou de façon concrète, agit sur les choses, indirectement, analogiquement.

ANALOGIE

Dans le pythagorisme, le mot « symbole » désigne une parole, un enseignement secret, avec sa double face : une expression énigmatique et un sens profond.

Pythagore livrait d'autres enseignements d'une manière mystérieuse sous forme de symboles.


Le symbole est le terme visible d'une comparaison dont l'autre terme est invisible.


La Bible est pleine de symboles, comme cela est souvent le cas pour les textes sacrés. Ils servent à tenter d'exprimer l'indicible (le sentiment de Dieu, la foi, les pressentiments...). Le livre de l'Apocalypse est un bon exemple de livre biblique riche en symboles (le dragon, l'agneau, la bête, les quatre chevaliers, etc.). La lecture en est même difficile pour les non-spécialistes. Les chiffres dans la Bible ont également une portée symbolique. Par exemple, 4 = le monde, 7 = perfection, 40 = le temps d'une génération, etc. Ainsi, pour comprendre un symbole biblique, il est parfois nécessaire de lire les autres récits bibliques où ce symbole apparaît, afin d'y trouver un sens commun et de mieux le comprendre.



Vers 500 av. J.-C., Héraclite montre que les mythes ne sont que des symboles de la vérité : "L'Un le seul sage ne veut être appelé et veut le nom de Zeus" (fragment B 32).


Le néo-platonisme, dès Plotin, considère que chaque niveau d'émanation est une image symbolique du niveau supérieur.


Origène formule la théorie des quatre niveaux herméneutiques (d'interprétation). Un texte aurait quatre niveaux possibles : soit littéral (historique), soit allégorique (dogmatique), soit tropologique (moral), soit anagogique (mystique). Le niveau littéral désigne un événement, le niveau allégorique contient une vérité, le niveau tropologique énonce une règle à pratiquer, enfin et surtout le niveau anagogique fait remonter à l'origine, il sauve, il promet la vie éternelle.

Pour saint Augustin, le symbole est un moyen apte à pénétrer la pensée infinie de l'unité divine


Les champions en symbologie demeurent, évidemment, les alchimistes. En se fondant sur la doctrine des correspondances, Swedenborg développe une interprétation allégorique de la Bible. Omraam Mikhaël Aïvanhov a écrit un livre sur "Le langage symbolique" (1967) : "Grâce aux symboles, le disciple peut lire et déchiffrer le langage de la nature. Il travaille avec les symboles comme le chimiste avec des lettres qui représentent les différents corps et éléments. Tout langage est symbolique."


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La final, trebuie spus - şi făcut - că esenţială este practica, utilizarea simbolurilor, în primul rând a celor tradiţionale, pentru a vedea cum funcţionează ele şi pentru a trece astfel la un nou mod de viaţă, la un nou nivel de existenţă - un simplu cerc, crop circles, o yantra (spre exemplu cea alăturată, pe coloana din dreapta a acestui blog; yantra Shambala-ei...)




SIMBOLUL ULTIM - ABSENŢA ORICĂRUI SIMBOL

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